LE RENFORCEMENT POSITIF avec des friandises

LE RENFORCEMENT POSITIF avec des friandises

S’il y a un sujet sur lequel il y a autant d’opinions diverses que de personnes c’est bien le sujet des friandises à donner ou ne pas donner à nos chevaux. Certes que ce n’est pas une question d’opter entre la carotte ou le bâton comme disent certains mais de choisir entre la carotte, un autre renforcement positif ou un renforcement négatif. Et évidemment au lieu du bâton (renforcement punitif) jetons notre dévolu sur le renforcement négatif. Les études en éthologie équine ont révélé que le renforcement négatif était plus efficace pour le cheval de proie que le renforcement punitif qui ne favorise aucunement l’apprentissage.

Note de Lyne : Personnellement je n’utilise pas de nourriture-friandise pour récompenser le cheval et ce n’est pas du tout que je suis contre. C’est tout simplement que j’ai de très bons résultats sans l’utiliser. La nourriture est un aspect du renforcement positif, il y en a d’autres que vous verrez dans cet article. Plusieurs de mes élèves utilisent la nourriture-friandise et je trouve cela très approprié si cela est fait correctement. C’est ce que Denyse vous explique dans cet article.

Renforcement négatif et renforcement positif

Avant de continuer sur ce sujet, il est important de différencier entre le renforcement négatif et le renforcement positif. Il ne faut pas voir positif comme quelque chose de bon et négatif comme quelque chose d’indésirable.

Gabi Neurohr de même que tous les Horsemen ou Horsewomen nous rappellent que lors d’un renforcement POSITIF on donne ou ajoute quelque chose de souhaitable, de désiré par le cheval une fois qu’il a donné la bonne réponse, adopté le bon comportement. Cela peut être une friandise, une séance de ‘’gratouilles’’ pour utiliser l’expression de Lyne ou de‘’ gratte gratte’’ pour utiliser celle d’Andy Booth, ne rien faire, aller brouter ou tout simplement parfois quitter le manège pour aller en randonnée.

Lors du renforcement NÉGATIF on enlève quelque chose donc dans le cas du travail avec nos chevaux, on enlève la pression. Le cheval comprend donc qu’il a adopté le bon comportement quand il y a un relâchement. La cession de la pression n’est pas considérée comme une récompense mais plutôt un soulagement, un réconfort qui contribue à l’apprentissage chez le cheval car le stimulus cesse quand le cheval adopte la réponse appropriée.

Il existe une multitude d’écrits sur le “oui”  de donner des friandises et probablement autant sur le “non”. Le “oui” pour récompenser un comportement et un “non” afin de voir si le cheval peut adopter un comportement sans recevoir une friandise de même qu’une crainte de créer un “monstre” qui quémande (demande) constamment.

Dans la nature, les chevaux entre eux utilisent des “traites”. Maman a ses mamelles qu’elle offre généreusement dans la mesure où bébé poulain est poli, sinon, pas de lait! Les troupeaux sauvages peuvent réclamer un trou d’eau pendant des jours empêchant un autre troupeau de boire.

L’utilisation des friandises est aussi utilisée au niveau diagnostic par les entraîneurs, par exemple si on donne une friandise à un cheval selon sa réaction on peut voir s’il a vraiment peur ou s’il joue à s’inventer des peurs. Un cheval très inquiet en randonnée par exemple, ne se baissera pas la tête pour brouter car il se sentirait encore plus vulnérable.

Si vous donnez des friandises, elles doivent être données tout de suite après le bon comportement et non plus tard. Une cavalière donnait des friandises à son cheval au retour à l’écurie car il avait rencontré une carriole en randonnée et n’avait pas pris le mors aux dents (se sauver) comme il était habituellement porté à faire. Le cheval ne peut pas faire le lien entre la friandise donnée maintenant et le bon comportement adopté il y a un certain temps. La friandise doit être donnée immédiatement après un bon comportement. De plus dans ce cas, on devrait donner les récompenses pendant la randonnée car au retour il est dans son “sweet spot” c’est-à-dire dans sa zone de sécurité.

Concept d’association positif

Ce qu’on désire c’est que le cheval trouve que les pistes de randonnée deviennent des “sweet spots”: c’est le concept d’association au positif. On a déjà vu des cavaliers éjectés ou des chevaux rébarbatifs parce qu’en revenant vers l’écurie les cavaliers décident de prendre une route plus longue afin de profiter de la superbe journée. Il en est de même pour le cheval qui une fois arrivé à l’écurie refuse de retourner en randonnée si l’occasion se présente.

Et souvent, si l’occasion ne se présente pas il nous faut la créer. Au retour à l’écurie suite à une randonnée, fréquemment je laisse les copines et retourne faire un petit tour sur la propriété; Indy collabore très bien. Ce n’est pas parce qu’on est revenue reconduire une copine à l’écurie qu’on ne retourne pas se promener toutes seules, ne serait-ce qu’une dizaine de minutes.

Céder à la pression

On cherche à développer le sentiment que les pistes de randonnée sont des “sweet spots”  et que nos moments ensembles sont agréables. Dans l’article Céder à la pression de cette série sur le PARTENARIAT, à la fin je fais le lien entre la cession à la pression et le développement mental du cheval. Un cheval qui cède à la pression au toucher ou à l’énergie cède à nos demandes et fera de même dans l’exemple ci-haut de retour en randonnée une fois revenus à l’écurie. Les friandises ne sont pas données au retour à l’écurie sauf pour un cheval expérimenté car en plus, cela n’éduque pas notre cheval à revenir à la même vitesse lors du retour qu’à l’aller. Quand je retourne seule avec Indy parfois je lui donne une friandise quand on s’est éloigné de l’écurie pour la récompenser d’avoir bien répondu à ma demande car ce n’est pas une demande habituelle dans mon milieu.

Comment donner les friandises 

Les friandises ne doivent pas toujours venir de votre main mais peuvent être déposées sur un baril, un cône, une toile, une bûche, un gros pneu du tracteur, la table de pique-nique etc. Dans la nature, la recherche de nourriture va souvent amener un cheval à explorer des endroits où il n’irait pas normalement tels des endroits très étroits, des bords de rivières tumultueuses, près des champs de construction, des trains car l’herbe y serait plus tendre.

Certains entraîneurs découragent l’utilisation des friandises car les chevaux ne sont pas tous polis et les humains risquent des morsures. Le cheval devrait prendre les friandises comme si elles étaient tenues dans la main d’un petit enfant. Donneriez-vous l’assiette à votre enfant s’il tape sur la table demandant son repas subito presto en criant après vous? Et pourtant on donne parfois au cheval dans ces conditions alors qu’il tape dans la porte du box. Le cheval doit apprendre à bien se comporter avec la nourriture et c’est à l’humain de l’éduquer.

La nourriture est un atout puissant autant chez l’humain que chez l’animal. Comment pensez-vous attirer des gens à l’assemblée annuelle? On a qu’à dire ou écrire que la réunion sera précédée d’un apéro, d’un cocktail ou bien que des cafés et viennoiseries seront servis après la réunion, cela motive très souvent 😉.

Les gratouilles ou gratte-gratte

Mes apprentissages avec plusieurs entraîneurs réputés qui ont une longue carrière de compétition, des cliniciens et instructeurs chevronnés TOUS utilisent le renforcement positif, mais ce n’est pas toujours de la nourriture, ce peut être des caresses, ou encore ne rien faire (undemanding time) ou des séances de grattage à des endroits particulièrement convoités par leurs chevaux.  ATTENTION DE NE PAS remercier en tapant MAIS DE CARESSER/GRATTER. 

Eric Grondin de EG Performance Horses, entraîneur québécois fort réputé, me disait récemment alors qu’il terminait une séance d’entraînement  avec le poulain d’une amie ‘’ je ne donne pas de friandises, le relâchement est sa récompense car comme on dit en anglais PRESSURE MOTIVATES but it is the RELEASE that TEACHES! 

La voix, le toucher ou les deux

Tous utilisent la voix; les chevaux reconnaissent, apprécient et comprennent les différents tons selon nos humeurs. Il est reconnu toutefois, que le toucher est beaucoup plus efficace que la voix pour diminuer le rythme respiratoire et calmer notre cheval. Le toucher, le grattage du garrot stimulent la sécrétion d’endorphine. Il n’en demeure pas moins que la meilleure récompense pour un cheval c’est la cessation de nos demandes de même que du temps à ne rien leur demander (undemanding time), juste être avec eux.

Certes que l’affiche ci-bas porte à faire réfléchir.

 

Traduction : Vous ne croyez pas en l’utilisation de friandises? Alors vous devez savoir quelque chose que les entraîneurs de l’École d’équitation espagnole de Vienne ne savent pas depuis 4 siècles.

Que pouvez-vous utiliser comme renforcement positif

Il faut penser qu’il y a plusieurs formes de renforcement positif que nous pouvons utiliser avec nos chevaux soient :

  • la nourriture laquelle a l’avantage de faire mâchouiller le cheval donc leur aide à se détendre. Lindsey Partridge de Harmony Horsemanship en Ontario dit que la bouffe pour les chevaux c’est comme l’argent pour les humains, une grande source de motivation.  Ses recherches poussées en la matière l’ont convaincue que utilisées judicieusement, les récompenses sous forme de friandises, vont de pair avec des progrès plus rapides. Certes que son parcours fort impressionnant avec de multiples championnats au “Off the track Thoroughbred makeover” ou au “Mustang challenge” aux USA font foi que bien utilisées les friandises accélèrent le processus d’apprentissage. Ses parcours sont souvent faits sans bride où elle négocie des obstacles tout à fait inusités. Cette entraîneure m’a démontré lors des cliniques et journées passées avec elle que utilisées judicieusement, les friandises favorisent l’apprentissage et la relaxation. Lors de la vidéo ci-bas, la jument hors de la piste de course depuis moins d’un an a été réhabilitée si je peux dire, par Lindsey. 
    • Video Lindsey sur YouTube : Extreme Bridleless with Lindsey Partridge and Trivia Time at Horse World Expo
    • Il faut toutefois s’assurer de ne pas bourrer nos chevaux de sucre. Plusieurs suggèrent des granulés de foin. 
    • Il faut aussi s’assurer que l’on ne forme pas des “quêteux” qui nous demandent constamment leur friandise. Les entraîneurs nous rappellent que c’est fort important que nous approchons la friandise  au cheval et non que le cheval nous fouille, nous pousse même nous fasse déplacer les pieds pour l’avoir. Ils le démontrent très bien en bougeant leur pochette de friandises près de leurs chevaux et ceux-ci ne bougent pas. Leur tête demeure immobile. C’est l’humain qui se rend au cheval et non le cheval qui vient vers l’humain et même le bouscule. DIFFÉRENCE IMPORTANTE!
    • De plus, chez un cheval qui quête, il est important de lui donner du côté opposé à celui où il vous pousse pour avoir sa friandise. Passez la main sous la mâchoire et offrez la friandise du côté opposé.
  • Le grattage à des endroits que le cheval apprécie particulièrement. Les chevaux nous laissent savoir où ils aiment être grattés et parfois nous informent qu’ils n’apprécient pas particulièrement cette façon de faire à certains endroits de leur corps.
  • Ne rien faire cela veut dire : être au neutre. Enlever la pression/la demande, ce qu’on appelle le relâchement, est la récompense ultime pour le cheval car notre vie avec les chevaux est beaucoup centrée sur des demandes de notre part.
  • La voix, est utile quoique moins efficace que le toucher si c’est pour favoriser la détente de son cheval mais efficace pour signifier au cheval que nous sommes contents de leur réponse. Il faut par contre ne pas oublier que si nous sommes tendus à cheval, notre corps indique plus au cheval que notre voix qui tente de le calmer.
  • Jouer avec eux (ex: ballon).
  • Parfois les faire bouger pour ensuite leur donner du repos.

Souvent les gens qui n’utilisent pas les récompenses utilisent la pression en ce sens que si le cheval n’accomplit pas ce qui est demandé, ils le feront travailler. Une façon de faire qui est basée sur les concepts confort/effort et association au positif dans le sens que le cheval accomplira la tâche réalisant que le repos sera la récompense.  Une façon de faire acceptable quand vient le temps de le faire monter dans la remorque, aller dans la douche ou négocier un obstacle quelconque, aller dehors après un hiver dans le manège intérieur, initier à la randonnée mais moins efficace quand on joue en liberté avec nos chevaux. 

   

Bénéfices d’utiliser des friandises
  • Elles sont pratiques à porter sur soi (pochette) ou dans ses poches, accessibles et faciles à donner. 
  • Le cheval mâchouille et cela contribue à la sécrétion d’endorphine, le cheval sera plus détendu.
Quand ne pas donner des friandises

Fawn Anderson de Natural Classical Vaquero aux USA avec qui j’ai eu l’immense privilège de vivre pendant un mois m’a enseigné d’éviter les erreurs suivantes au sujet des friandises

  • Récompenser suite à un exercice pas fait aussi bien que votre cheval peut le faire.
  • Récompenser le cheval qui n’est pas docile. (BAD FRAME OF MIND)
  • Cheval qui vous bouscule, voire vous fait reculer les pieds et parfois plus subtilement que les épaules pour obtenir la friandise. Je dois être capable d’avoir ma pochette de friandises proche et que le cheval ne tente pas de venir en chercher. 
  • Récompenser pour un comportement de base tel le montoir une fois acquis. Par contre si on monte du côté de la remorque, d’une table de pique-nique, des pneus du tracteur ou d’une roche dans le bois pour un cheval ayant peu d’expérience on peut le récompenser. 
  • Récompenser un cheval lent à répondre, paresseux dans ses réponses à nos demandes.

De même que dans les conditions suivantes :

  • Cheval pas calme, cheval qui a peur et qui refuse un obstacle quelconque. La friandise ne réussira pas à calmer le cheval; ça sera qu’un baume temporaire mais ne rendra pas ce cheval plus confiant. Il faut à ce moment utiliser des stratégies pour bâtir la confiance et la relaxation. L’article Hésitation ou Refus dans la série sur BÂTIR LA CONFIANCE décrit les stratégies à utiliser dans ce cas.
  • Ne pas récompenser un comportement inacceptable. Les gens ont parfois tendance à donner une friandise pour que le cheval cesse un comportement inadéquat.
  • Ne pas donner si un cheval n’accomplit pas la tâche sans demander une friandise.
  • Ne pas donner avant que le cheval ait accompli la tâche demandée. Par exemple si on doit faire un pansement au cheval, on donne des friandises quand il s’est tenu tranquille, n’a pas bougé et non pour l’inciter à ne pas bouger. Tout comme lors des obstacles à franchir, on ne donne pas de friandises pour inciter le cheval à franchir le pont par exemple. En anglais, do not use treats to bribe the horse into doing something.

A éviter

  • Ne pas donner de la bouche, quelque peu risqué.
  • Pas conseillé non plus de laisser le cheval fouiller partout dans vos poches.
Quand donner des friandises

Certes que l’on peut donner une friandise sans but précis autre que de donner la friandise. Ce qui est important c’est de ne pas créer une habitude de sorte que le cheval finit par quêter si à chaque fois que vous arrivez à l’écurie par exemple, vous donnez quelque chose à votre cheval. Dans ces instances il est important qu’il y ait un élément de SURPRISE, parfois une friandise et parfois pas de friandise.

  • Cheval poli qui ne vous fait pas bouger les pieds, surtout ne pas reculer les pieds ni les épaules.
  • Uniquement lorsque le cheval est CALME et ne quête pas pour avoir sa friandise. Il est clair qu’une friandise cause un certain niveau d’excitation chez le cheval donc on ne le fait pas trop attendre.
  • Un nouveau truc, un mouvement : l’action avant la récompense.
  • Quelque chose de particulièrement exigeant.
  • Quelque chose de particulièrement bien réussi.
  • Quelque chose que vous chérissez particulièrement.

Au début quand on enseigne un nouveau mouvement, un nouveau truc à son cheval, on va être plus généreux. Plus le cheval devient éduqué, moins on a recours aux friandises. C’est un peu comme chez les enfants : quand ils sont en première année, on les récompense s’ils peuvent additionner 2 et 2 mais rendus au secondaire cela ne serait pas approprié de récompenser pour une addition aussi simple. 

Il est important de réaliser que lorsqu’on donne du foin ou du grain à notre cheval, on lui donne une traite pour aucun comportement spécifique. La pire chose à faire est de donner le grain au cheval qui cogne dans la porte du box. On récompense alors le mauvais comportement, un comportement parfois agressif. Lorsque vous nourrissez vos chevaux cela doit être fait dans le calme. S’ils sont au box ou dehors en liberté ils ne doivent pas vous bousculer.

Technique de Lindsey Partridge de Harmony Horsemanship en Ontario, multiple championne du Thoroughbred Makeover et Mustang Challenge aux USA.

J’ai trouvé fort intéressant la façon de Lindsey de travailler avec ses chevaux concernant les friandises. Lors de démonstrations faites avec elle j’ai appris ce concept que je l’ai mis en pratique. Je donne peu de friandises à Indy mais quand nous faisons des choses spéciales soit en voyage, en parade, où lors d’éléments bien réussis en stage, je suis plus généreuse.

Lindsey utilise 2 mots pour récompenser ses chevaux. J’aime bien son approche car cela évite de donner trop souvent des friandises ce qui devient quelque peu encombrant voire fatigant (Lyne : je partage la même philosophie)

  • Un premier mot tel‘’ bonne fille, gentil garçon’’ est une récompense au niveau mental/émotif en ce sens que cela indique au cheval qu’elle est contente de son comportement, que celui-ci a donné la bonne réponse laquelle est récompensée par une cessation de la demande si la condition le permet. Lors d’un parcours d’équitation de travail, de cowboy extrême ou d’un parcours de reining, de mountain trail ou de ranch trail par exemple, elle ne peut pas donner une friandise après chaque obstacle ou manœuvre mais le ‘’ bonne fille’’ dit bien à son cheval qu’elle est contente. Souvent, si les conditions le permettent, elle va aussi caresser ou gratter le garrot du cheval.
  • Un mot déterminé tel que “oui”, “wow” dit fort et avec enthousiasme; c’est à ce moment qu’elle donnera une friandise.

Elle explique que lorsqu’elle emmène ses chevaux à des démos, concours de cowboy extrême, sauts d’obstacles, elle ne peut dire “oui” ou “wow” après chaque saut, chaque obstacle mais leur dit verbalement “bonne fille”. C’est seulement à la fin du parcours ou de la présentation qu’elle dit fort “OUI” que le cheval sait qu’il aura une friandise. Sinon, le cheval s’arrêterait après chaque obstacle réussi : pas trop bon lors d’un concours où le temps est compté de même qu’une démo quelconque.

A vous de décider votre façon de faire! Tout est bon lorsque bien fait!

Denyse Rousselet

Denyse Rousselet

Denyse Rousselet, cavalière du Québec depuis 35 ans, a eu l’immense privilège depuis une douzaine d’années de voyager à la rencontre de nombreux horsemen/horsewomen fort reconnus pour leurs compétences en horsemanship tout en étant aussi réputés pour leurs performances exceptionnelles avec leurs chevaux. Plusieurs stages en France, Italie, Costa Rica, USA, Ontario et Colombie Britannique totalisant environ un an, lui ont inculqué des notions, concepts et stratégies pas fréquemment enseignés dans nos milieux équestres. Ce cheminement a amené Denyse à être reconnue par ses conférences et cliniques sur le développement d’un bon cheval de randonnée ainsi que des diverses stratégies afin de développer un cheval confiant, sécuritaire et bon partenaire.

Je m’appelle Lyne Laforme

Entraîneure et coach professionnelle en éducation

Lyne Laforme - Coach éducation cheval

 Depuis 1980, j’aide les cavalières et cavaliers à entraîner leurs chevaux pour établir une relation harmonieuse avec leur cheval et à devenir le centre de son univers.

Je suis aussi l’auteure du “Manuel d’équitation Western – Un plaisir partagé” vendu à plus de 10 000 exemplaires et disponible sur Amazon.

En 2013, j’ai reçu la médaille du Jubilé de la Reine Élisabeth II pour ma contribution significative apportée au développement des programmes d’enseignement et d’entraînement en sport équestre au Canada et en Europe.

Aujourd’hui, je veux transmettre les connaissances que j’ai acquises avec l’expérience et les centaines de cavalières et cavaliers que j’ai pu rencontrer.